Poudlard : Les racines de la magie
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Rpg School-Life situé à Poudlard dans les années qui suivent la trame d'Hogwarts Legacy
 
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 Sebastian A. T. Michaelis

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Sebastian A. T. Michaelis

Sebastian A. T. Michaelis


Messages : 4
Date d'inscription : 08/08/2023

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MessageSujet: Sebastian A. T. Michaelis   Sebastian A. T. Michaelis EmptyMer 16 Aoû 2023 - 17:57

Sebastian Aaron Tristan Michaelis
Descriptions

Surnom : // | Âge : 15 ans | Date & lieu de naissance : 24/12/1875 sur l'île des Michaelis | Nationalité : Français | Origine : Français avec quelques touches hispaniques | Genre : Homme | Statut : Célibataire | Métier/année : 6ème année à Poudlard | Maison : Poufsouffle | Animal de compagnie (ou animaux) : Raziel, un croisé matagot-fléreur et Jéthro, un duc à aigrette | Baguette : Baguette en bois d'Eucalyptus arc-en-ciel, coeur en moustache d'hybride matagot/fléreur, relativement souple, 38.5 cm | Orientation sexuelle : Hétérosexuel surement | Avatar : Personnage de Hogwarts Legacy | Crédit : //

Description mentale ✎ Il est l'héritier d'une longue lignée de sorciers, l'une des rares familles de sang-pur française qui plus est. Il s'agit d'une famille appartenant à la noblesse depuis des temps anciens. Il en tire une très grande fierté, car sa famille fait partie de celles qui ont forgé l'histoire !
Il fait ainsi partie de ces rares familles de sorcier au "sang-pur" qui, d'après lui, ne le sont que par chance. Les autres Michaelis, tout comme lui, ne partagent pourtant pas l'idée de la suprématie du sang-pur. Il accorde bien plus d'importance au talent et au mérite qu'au sang. Il est aussi très respectueux envers les cracmols qui sont des âmes damnées, incapables de pleinement vivre dans le monde des sorciers alors même qu'ils y sont nés.

Bourreau de travail, Sebastian a toujours fait de son mieux pour que sa famille soit fière de lui à l'école... jusqu'à ce que cela devienne à la fois une fierté personnelle et un fardeau. A force de trop bien faire, d'être "parfait", il devait dès lors se battre pour garder ce statut plutôt que de travailler par satisfaction. Avec le temps néanmoins, il aquerrit une nature de travailleur et accepta le stress de conserver sa première place. Arrivé à Poudlard, il décida d'être le meilleur élève de sa promotion une fois encore, à la fois pour sa propre satisfaction et par pur chauvinisme : il voulait montrer que "les français sont les meilleurs".
Joueur et fier, il n'en est pourtant pas spécialement hautain. S'il aime à être le meilleur, à conserver ce titre et apprécie d'être vue comme tel, il n'en joue pas spécialement. A vrai dire, il use plutôt de cela dans d'autres buts comme aider ses camarades, qui quant à eux peuvent avoir la certitude de pouvoir compter sur ses compétences et son entousiasme.

D'un naturel bon et amical, Sebastian n'hésite jamais à aider les autres dans leurs projets. C'est probablement ce naturel chaleureux et amical qui l'a aidé a se faire accepter rapidement à Poudlard et l'a qualifié pour entrer dans la maison Poufsouffle.
Il partage d'ailleurs un trait prépondérant chez tous ceux de sa maison : une inébranlable tolérance pour tous les êtres vivants. Dans une philosophie à la limite de l'animisme, les Michaelis respectent toutes les créatures, qu'elles vivent dans les plaines ou les forêts, en passant par les points d'eau ou l'immensité du ciel. Il s'agit peut-être là d'un héritage de l'ancien statut familial de protecteur de la forêt des Ardennes, qu'ils ont hérité de l'antiquité.
Cette tolérance se retrouve dans le respect des cracmols mais aussi des autres êtres magiques comme les centaures dont les Michaelis sont très proches. Les Michaelis sont presque considérés comme des membres à part entière de la harde de centaures vivants aux abords de leur demeure et ont protégé leur souverraineté sur leur demeure en allant même jusqu'à défier leur propre souverrain.
Sebastian respecte aussi par exemple les lois gobelines, considérant qu'un gobelin est le seul propriétaire d'un objet qu'il a conçu et que l'acheter n'est qu'une forme de location. C'est une opinion mal vue par le reste du monde magique et qui participe à l'éloignement et l'inimitié entre les sorciers et les gobelins.

Description physique ✎ Mesurant 1 mètre 70, Sebastian est plutôt dans la moyenne, ce n'est clairement pas sa taille qui pourrait lui permettre de se faire remarquer.
D'ailleurs, ce qui se démarque plutôt chez lui... C'est sa coiffure. Il s'agit d'une coupe peu conventionnelle pour la mode moldue en vogue puisqu'il garde les cheveux longs, descendant en dessous des omoplates. Il n'aurait pas détonné parmi l'ancienne aristocratie française ou espagnole, tandis qu'il sort du lot des jeunes gens de Grande-Bretagne. Ses cheveux frisés arborentun brun cacao aux reflets légèrement roux au soleil. Sebastian prend toujours grand soin de sa crinière et est impeccablement coiffé au quotidien. Son visage se trouve donc généralement cerclé de quelques anglaises parfaitement naturelles.
Son visage ovale arbore une fine moustache et une courte barbe, signant le début de la fin pour cette triste période qu'est la puberté.
Pour finir, un trait particulier de sa famille et qui transparait dès le premier regard chez lui, ce sont ses yeux. Les Michaelis sont en effet connus pour une caractéristique unique datant des débuts de leur lignée : leurs yeux ambrés rappelant l'or.

Sur le plan vestimentaire, Sebastian reste dans le registre classique au cours de l'année scolaire. En effet, il porte habituellement l'uniforme de Poudlard lorsqu'il se déplace dans l'école ou lors de ses pérégrinations dans les highlands. Il porte constamment autour de son cou l'écharpe de sa maison qu'il a parfaitement adoptée comme s'il avait toujours été un élève de Poudlard.
A contrario, sa tenue civile quant a elle est un étalage de la fortune de sa famille et de son rang dans la société. Portant souvent une chemise de soie bleu nuit accompagné d'un veston sans-manchhe en cuir d'Opaloeil brodé de fil d'or, il détonne généralement dans la foule. Ces tenues richement élaborées sont la majorité du temps accompagnées de pantalons sur mesure dont les teintes sombres ne dissimulent en rien la coupe ajustée.
De plus, Sebastian porte la plus part du temps des gants en cuir d'Opaloeil, coutume de nombre de bonne gens de l'aristocratie. Il ne se sépare jamais de ses botines à talons, elles-mêmes faites du même matériaux rare des terres australes.
Enfin, Sebastian, porte en tout temps par dessus ses gants ou sur sa main nue une chevalière frappée du blason de sa famille, arborant une brisure symbolisant son statut d'héritier et non de patriarche de la famille.

Particularités du personnage ✎ Peut voir les traces de magie et maitrise naturellement la magie ancienne.

Histoire

Je vis le jour il y a seize ans déjà. De mon nom complet Sebastian Aaron Tristan Michaelis, je suis le premier fils et héritier de Thaddeus Basilis Aureolus Michaelis, patriarche de la noble famille Michaelis et directeur des entreprises affiliées. Je naquis sur l'île de ma famille, un bout de terre caché quelque part dans l'océan Pacifique. Nous y vivions loin des querelles de ce mondes et de ses habitants. Cachés aux yeux des moldus ainsi que des sorciers, nous étions protégés par le sceau du secret magique.

Comme vous vous en doutez, ma famille n'est pas conventionnelle, même selon des normes de sorciers. D'un point de vue technique, j'étais héritier au titre de marquis palatin. Il s'agit d'un titre que ma famille détient depuis des temps immémoriaux et que nous avions acquis alors même que la France n'était pas encore réellement une nation, sous la dynastie des mérovingiens.
Un certain poids pesait sur mes épaules avant même ma naissance. Un poids tacite mais bien réel. Bien sûr, j'aurais pu renoncer à ma place d'héritier si je l'avais souhaité. Cependant, en tant que digne fils de mon père, j'avais le devoir moral d'assurer la succession. Je m'étais donné pour mission de prendre un jour la tête des entreprises Michaelis et de devenir le prochain patriarche de notre noble famille comme mon père avant moi. Puisque nous n'avions pas abandonné ces anciennes notions quasi-claniques héritées de la société féodale, il me fallait m'en montrer digne.

Contrairement à ce que l'on aurait pu imaginer, ma famille était particulièrement aimante et conciliante. Je connus une enfance heureuse et bien entourée. Comme c'est bien souvent le cas dans les familles se transmettant leurs commerces de génération en génération, je me retrouvai rapidement à aider mes aînés. J'appris auprès d'eux le fonctionnement du monde magique ainsi qu'un art ancien dont le secret se gardait jalousement parmi les nôtres. En effet, si nous étions réputés pour le commerce de biens divers et variés allant de balais volants aux potions en passant par les tapis magiques, notre notoriété était surtout due à la qualité de nos baguettes magiques. Nous étions les descendants d'une longue lignée de spécialistes, qui remontait aisément jusqu'à d'éminents druides gaulois dont l'on avait remonté la trace jusqu'à environ -500 avant Jésus Christ. C'était là notre héritage et chacun de nous y était introduit dès son plus jeune âge. Il ne tenait qu'à nous d'en faire un métier à l'âge adulte ou de choisir une autre voie, cependant cet art nous était transmis traditionnellement comme une sorte de rite de passage. J'étais fier de savoir que nous avions conservé les rites et traditions druidiques de temps anciens, ainsi que peaufiné un savoir faire millénaire.

Dans mon enfance, mon père m'enseigna les ficelles du métier. Il était très réputé en Europe et tout particulièrement en France, pays avec lequel nous entretenions des liens étroits. Nous étions considérés comme français d'un point de vue légal, et cela nous convenait parfaitement. Mon père me transmit son savoir selon les anciennes méthodes druidiques, c'est à dire par une tradition orale. En effet, nos savoir n'étaient retranscrits nulle part ailleurs que dans nos esprits. J'eus également le plaisir d'apprendre de ma mère et, de façon plus surprenante, d'un centraure. Une harde de ces êtres vivait en effet sur notre île et nous partagions des relations fraternelles avec leurs semblables depuis l'antiquité, à l'époque où nous protégions de concert la forêt ardennaise.

A l'âge de huit ans, j'entrai à Beauxbâtons à l'instar de tous les jeunes sorciers français de mon âge. Cependant, contrairement à la plupart de mes condisciples, j'entrais à l'école en possession d'un bagage de connaissance déjà conséquent. Grâce à cet avantage, j'acquis rapidement une réputation parmi les professeurs. J'étais particulièrement fier d'être en avance sur les autres... Cependant, je craignais de décevoir mon entourage et mes enseignants en n'étant pas à la hauteur de leurs attentes. Cette anxiété me conduisit bien vite à devenir un bourreau de travail. Bien sûr, ce n'était que l'aube de mon parcours scolaire... Malheureusement, cette obsession pour la performance ne me quitta plus jamais et eut tendance à empirer avec les années. Je tenais beaucoup à maintenir l'image de ma famille, et le lustre de notre blason. Il m'était impossible d'imaginer que je pourrais ternir notre réputation et je brandissais avec fierté mon statut d'élève studieux  et de digne membre de ma famille. Mes performances firent rapidement de moi une petite célébrité dans les murs de Beauxbâtons

Pour mon plus grand plaisir, je partageais ma scolarité avec l'une de mes cousines. Dans les faits, notre lien de parenté était si ténu qu'il en était presque dérisoire. Pourtant, j'avais depuis l'enfance considéré ses parents comme mes oncles et tantes, et nos familles se fréquentaient dans cette optique depuis toujours. Ils représentaient la branche louisianaise des Michaelis, celle qui s'était installée à la Nouvelle Orléans depuis sa fondation. Ils étaient par conséquent devenus une branche relativement indépendante de notre lignée, quoi que nous entretenions les rapports les plus cordiaux. De fait, Olivia et moi étions aussi proches que des cousins naturels. Elle s'était inscrite à Beauxbâtons afin de commencer ses études plus tôt en ma compagnie, profitant de l'avantage qu'offrait cette école quant à l'âge de début de la scolarité.

A dix ans je fus confronté au cérémonial de passage de ma famille... Le rite de la création. Comme on pouvait s'en douter, le but était de concevoir et de créer une baguette. Celle-ci m'appartiendrait par la suite, aussi était-il primordial d'y apporter toute mon attention. Sous l'oeil attentif de mon père, je m'attelai à la tâche. Bien sûr, il ne s'agissait pas de tout faire seul, au contraire : le mentor devait effectuer les parties les plus techniques avec l'aide de l'aspirant. Il fallait tout d'abord trouver les matériaux, un coeur et un bois pourvu de propriétés magiques. C'était la première étape mais également la plus importante car elle déterminerait la réussite du processus. Le choix de l'arbre me parut évident : l'eucalyptus arc en ciel, ma plante favorie sur l'île. J'avais toujours aimé jouer autour de ces larges troncs et admirer leurs canopées, ainsi que la myriade de couleurs de leur écorce. Je décidai d'opter pour un coeur original, que beaucoup considéraient comme inférieur à d'autres comme le phénix ou le dragon. En effet, j'avais jeté mon dévolu sur de la moustache de mon félin de compagnie. Plus précisément, la moustache d'un croisé matagot/fléreur nommé Raziel, un animal avec lequel j'avais développé une relation particulière. Il ressemblait sous sa forme féline à un chat angora noir avec quelques touches blanches. Il arborait quelques traits caractéristiques du fléreur, comme une queue pourvue d'une touffe blanche semblable à celle d'un lion et de longs poils blancs pointant à l'extrémité de ses oreilles, à l'image des lynx.

Le rite de création était particulièrement important car selon nos traditions, nous étions convaincus qu'une baguette avait conscience de ce dont elle était composée, aussi bien son coeur que son bois. Nous pensions également qu'elle avait une certaine connaissance de son créateur, l'artisan ayant façonné son corps afin qu'elle devienne une baguette magique à part entière. La mienne reconnaîtrait donc mon père... Mais l'implication importante de l'apprenti tout au long du processus avait pour but d'inciter sa création à le reconnaître également. La tradition stipulait que si l'on mettait tout son coeur à l'ouvrage, alors votre première baguette vous reconnaîtrait comme son propriétaire éternel. Je n'avais pas lésiné d'efforts et travaillé d'arrache-pieds en me remémorant ce que mon père m'avait enseigné jusque là. Lorsque nous eûmes achevé notre oeuvre, mon père me tendit la baguette d'un geste solennel. J'effectuai un geste du poignetet l'instrument y réagit aussitôt. Je poussai un soupir de soulagement en constatant qu'elle m'avait reconnu comme son maître. Je me défis alors définitivement de la baguette d'emprunt que l'on m'avait confiée pour mon entrée à Beauxbâtons, afin d'arborer fièrement celle que nous avions fabriquée. Il s'agit toujours à ce jour de la plus grande fierté de ma vie.

Avec l'aide de ma propre baguette, mes capacités se révélèrent plus remarquables encore. Nous étions dans une résonnace idéale et notre harmonie me permit d'affiner mes techniques. Tout semblait parfait... Jusqu'à ce qu'une situation inattendue mette une fin abrupte à mes études en France.

En effet, le passage de la Louisiane sous l'administration américaine en conséquence de sa vente par Napoléon posait de terribles problèmes moraux à la famille d'Olivia. En effet, les vues archaïques du MACUSA quant à la question moldue entraient en conflit direct avec les valeurs de nos cousins américains. Ils s'étaient toujours opposés au MACUSA, en particulier au sujet de la loi Rappaport. Ils s'étaient jusque là opposés à cette politique avec suffisamment de verve pour réussir à imposer un statut quo, auquel l'administration américaine désirait mettre fin. Le gouvernement français fut invité à intervenir en interdisant l'entrée à Beauxbâtons aux Michaelis de Louisiane. Le MACUSA espérait ainsi contraindre nos cousins à s'intégrer finalement parmi les rangs et à accepter leur souveraineté. Après bien des tergiversations, le ministre de la magie français finit par trancher en faveur du MACUSA. Cela eut pour conséquence immédiate le boycott de Beauxbâtons par l'entiereté de notre famille. Mon père protestait ainsi contre une décision qu'il jugeait injuste. Pour ma part, j'étais partagé. D'un côté je comprenais parfaitement cette action et la soutenais, mais de l'autre je me sentais injustement forcé de quitter ce que je considérais comme ma deuxième maison. Cependant la décision était prise et je quittai Beauxbâtons en milieu d'année scolaire, en quatrième année.

Pour l'année suivante, Olivia fut envoyée à Castelobrouxo, son père refusant de satisfaire le MACUSA en l'inscrivant à Ilvermorny. Quant à moi, on m'inscrivit à Poudlard où ma famille avait étudié à l'époque ou Beauxbâtons n'existait pas encore. Puisque notre départ l'année précédente s'était fait précipitamment, l'administration scolaire souhaitait vérifier si j'avais bien le niveau pour entrer en cinquième année. On m'envoya le professeur Fig , spécialiste en théorie magique. Mon absence l'année précédente n'avait pas eu trop de conséquences et le professeur me donna même quelques cours particuliers qui me permirent de découvrir sa matière.

Puisque je ne vivais pas dans la zone géographique habituelle des élèves de Poudlard, on nous permit de rejoindre l'école en calèche volante. Nous fîmes un court arrêt à Londres avant de repartir en direction de l'école. La plupart de mes condisciples auront entendu parler de la suite des évènements, en détail ou pas... Je préfère ne pas revenir sur ce qui a pu se passer ce jour-là, l'image est encore trop vive dans mon esprit. S'ensuivirent des mois compliqués, mêlant découvertes au sujet de la magie ancienne à des évènements scolaires plus classiques. Ma répartition à Poufsouffle me permit certainement de m'intégrer avec une grande facilité. Je profitai du guide du sorcier pour me faire rapidement à ce nouvel environnement. Le professeur Fig m'avait donné le titre d'assistant afin de me permettre d'étudier la magie ancienne a ses côtés.

Je découvris Pré au Lard et ses merveilles, ainsi que ses dangers... Les environs du château n'eurent rapidement aucun secret pour moi, car je les parcourais régulièrement aussi bien seul qu'en compagnie de mes nouveaux amis. Je visitai également les lieux les plus secrets de Poudlard, de la réserve aux passages secrets en passant par des caches secrètes datant de la création de l'école. Je visitai même Azkaban, bien que cela soit un fait des plus secrets. La forêt interdite reçut plusieurs fois mes visites, dans différentes circonstances et j'appris à y capturer des créatures que je mettais ensuite à l'abri de la horde de braconniers qui pullulaient dans les environs. Cette année me donna l'occasion de résoudre des mystères vieux de plusieurs siècles, d'analyser d'anciennes scènes de crime et de résoudre des énigmes laissées à travers le pays par nul autre que Merlin lui-même. J'aidai également mes amis à régler des problèmes familiaux plus ou moins graves, mais c'est une histoire pour un autre jour. Le moment le plus marquant fut probablement lorsque Sebastian faillit commettre l'irréparable en prononçant quelques syllabes du sort de la mort... Heureusement mon intervention l'empêcha d'achever sa formule, et l'utilisation d'un Oubliette bien placé permit de faire oublier l'événement à son oncle. Quelques temps plus tard, après moult péripéties, les gobelins finirent par attaquer Poudlard. L'attaque finit par être repoussée, mais le professeur Fig y perdit la vie.

Après tous ces tragiques évènements, l'année scolaire toucha à sa fin, avec les B.U.S.E ... Je n'avais plus le même engouement aux études, j'étais quelques peu désemparé ... Depuis, j'ai même pensé plusieurs fois à Isidora et sa magie ancienne capable de retirer les afflictions sentimentales ... J'ai hésite à retiré la peine que je ressentai quand à la mort de Fig, plus d'une fois ... Mais pour l'heure,  je tiens bon ! Je veux respecter sa mémoire, ce pourquoi nous nous sommes battus et ce pourquoi il a donné sa vie. Je donnai le meilleur de moi même aux examens et les réussis sans trop de peine. Bien que dans une ambiance triste, la coupe des quatre maisons avec la victoire de Poufsouffle allégea un peu l'humeur globale.

L'été 91 se passa dans le calme. Je profitai de ces mois dans le domaine familial pour prendre un repos bien mérité tout en étudiant mes nouvelles capacités. Avant, j'avais Eleazar pour m'aider... Son expertise en théorie magique était un point focal pour l'étude de la magie ancienne et ma maîtrise de celle-ci. Dorénavant, je n'avais plus d'aide, je devais donc apprendre dans mon coin, tâtonner, étudier les écrits de théorie magique et ceux parlant de magie ancienne... Le processus était nettement plus lent mais néanmoins prometteur.

Maintenant, l'été touchait a sa fin et une nouvelle année s'annonçait désormais à Poudlard.

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Pseudo : Sebastian | Âge : 26 ans | Comment as-tu découvert le forum ? : Je suis l'Alpha et l'Omega sur le papier | Acceptez-vous le règlement : Non, je l'ai mentionner à l'oral par contre ça compte ! | Autre : Oui il y en a d'autre

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Siobhan Bleddyn

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Messages : 15
Date d'inscription : 19/07/2023

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MessageSujet: Re: Sebastian A. T. Michaelis   Sebastian A. T. Michaelis EmptyJeu 4 Avr 2024 - 12:41

Bienvenue à Poudlard ! Te voilà validé !
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